Parcours Croisés Samedi
Parcours croisés Samedi
Chapitre 38
Jonathan
Nelly est venue me retrouver ce matin dans ma chambre vers 9 heures. Je dormais encore et quand jai entendu frapper à ma porte, jai cru que cétait mon patron qui avait besoin de quelque chose. Et puis cétait elle, toute mignonne avec sa jupe plissée et son chemisier blanc, et moi, avec le caleçon informe que javais gardé pour dormir
Elle est entrée sans rien dire, jetant un il autour delle.
- Tu devais pas être chez ta tante ? Je croyais te retrouver là-bas
- Je suis venue te chercher pour aller voir Kévin
- Pour quoi faire ? Tu veux que je vienne avec toi ?
- Oui
il faut que je lui parle
Heureusement ma chambre était propre ; depuis quelle était passée me chercher la dernière fois, je faisais plus attention à ranger et à pas laisser traîner mes habits partout ; même ma vaisselle était rangée.
-
et je veux que tu maccompagnes
- Il maime pas beaucoup, Kévin ! ça va pas lui plaire de me voir !
-
sil te plaît
- Daccord
Jai pris mon jeans qui était sur le dos de la chaise pour lenfiler :
- Tu vas quand même pas rester avec ce caleçon ? Tas dormi avec ! Change-toi !
Quand elle est comme ça, elle ressemble à sa tante ! le ton sec, et toujours à donner des ordres
bon, ça me déplaît pas
mais quand même, elle pourrait être plus gentille avec moi. Jai fouillé dans le tiroir de ma commode pour trouver un autre caleçon ; elle sétait assise sur la chaise devant mon ordinateur et elle me surveillait, les bras croisés. Chez sa tante, on se déshabillait ensemble, mais là, dans ma chambre, cétait différent et je lui ai tourné le dos pour me changer :
- Viens ici
Debout devant mon évier elle avait pris le gant que je suspends à un crochet collé sur le carrelage et elle versait du savon à main dessus :
- Allez, viens
cest pas comme si cétait la première fois ! Tu dois changer Jonathan ! Jai vu que tavais rangé, cest plus propre que la dernière fois
mais il faut aussi être propre sur toi, changer de sous-vêtement et te laver
- Jaurais pris une douche, tu sais
- Approche !
Tout en parlant, elle ma passé le gant sur la figure et dans le cou en se tenant à mon bras :
- Je vais dire à Kévin que je veux plus sortir avec lui
je veux que tu sois là quand je lui dirai
Elle sest accroupie devant moi :
- Baisse ton caleçon !
Elle passe le gant de toilette sur mes fesses et entre mes jambes
- Tas encore mal ?
- Oui, ça me brûle encore, et ça saigne un peu
- Jai fait exprès, tu sais, je savais que tu aurais mal
- Ça va passer, cest pas grave
et puis je ten veux pas
- Tu ne men veux pas ! tu es sûr de toi ?
- Oh, oui bien sûr ! tes bête
- Donc si je te faisais encore mal, tu ne men voudrais pas ?
-
tu veux me faire mal ?
- Te faire du bien
et peut-être mal aussi
tu aimerais, Jonathan ?
-
je sais pas
- Mauvaise réponse ! Dis-moi que tu le veux !
-
je le veux, alors
Elle ma fait tourner vers elle et a commencé à me laver le sexe ; je me suis mis à bander.
- Arrête, Nelly
et elle a continué, tout doucement, sa main me serrait presque pas, montant et descendant sur mon sexe avec le gant plein de savon
elle sest relevée et a passé le gant sous leau chaude, elle ma rincé, ma essuyé avec la serviette de toilette accrochée au clou à côté de lévier, et elle a repris mon sexe dans sa main nue, en se tenant à ma cuisse de lautre. Jai senti que jallais jouir et je me suis détourné un peu
elle a continué à me caresser, longtemps, sans jamais changer de rythme, toujours tout doucement en glissant de haut en bas du sexe, jusquà ce que je redevienne tout mou.
Elle a grimacé en se relevant et a dû sappuyer sur mon bras :
- Tas mal ? cest depuis hier ? cest tes anneaux ?
Elle a fait signe que oui et sest assise sur la chaise :
- Jai trop marché, hier, je crois
- Tes pas restée chez ta tante ?
- On est allées à Paris
pour toi
- Comment ça ?
-
tu sais
les photos quelle ta montrées
elle voulait acheter ce quil lui fallait. Elle a voulu que je laccompagne, et jai trop marché
en bougeant, ils frottent et ça me fait mal
- Mais
elle veut men mettre aussi ? cétait vrai, alors
- Oui
cet après-midi
et à moi aussi, le dernier
- Ça me fait peur, Nelly
je suis pas aussi courageux que toi
elle le sait que tas encore mal ?
- Non, je lui ai pas dit
cest un peu gonflé, cest normal
passe le gant sous leau froide et donne-le moi !
Elle a soulevé sa jupe et la coincée sous sa taille.
- Pourquoi tas pas mis une culotte ? ils bougeraient moins
- Elle ne veut pas !
- Mais elle saura pas
tu peux lenlever avant daller chez elle !
- Mais non, Jonathan, tu ne comprends pas
elle ma dit de rester comme ça, je le fais !
- Mais tas même plus de compresses, ça pourrait sinfecter, et puis avec le gant cest pas bon non plus
- Donne, je te dis, le froid me fait du bien
Les deux plus petits des anneaux fermés par une boule sur ses petites lèvres sont reliés par une petite chaînette fermée sur un pendentif brillant en forme de goutte, étirant les deux voiles minces de chair qui dépassent de plus dun centimètre en bas de la fente du sexe.
-
on dirait que ça saigne un peu, cest normal ?
- Cest rien !
- Dis, Nelly
elle veut me faire quoi
à moi ?
- Tu verras bien !
- Allez
dis-moi
- Non ! Je ne te dirais rien!
- Mais elle saura pas
- Moi je saurais. Jai dit non, arrête !
- Tobéis toujours, toi ?
- Bien sûr, toujours ! et je veux que tu en fasses autant ! tu mentends ? tu dois lui obéir et mobéir à moi ! Toujours !
Elle avait un petit sourire figé sur son visage fermé ; elle ressemblait vraiment à sa tante. Elle sest relevée, a rincé le gant dans lévier et la remis sur son crochet. Elle sest essuyée avec la serviette suspendue à côté et me la lancée :
- Tiens ! prends ça ! Enlève ton caleçon et allonges-toi par terre, là, à la lumière !
Jai étendu la serviette sous la fenêtre et je me suis assis dessus. Elle a pris la mousse à raser et mon rasoir jetable sur le bord de lévier et ma fait allonger. Elle a étalé de la mousse sur mon ventre au-dessus du sexe et de chaque côté en débordant sur les cuisses. En tenant la peau du prépuce entre ses doigts de la main gauche, elle a commencé à raser en descendant le long de la queue, tout le tour, et ensuite elle ma rasé le ventre, en haut jusquau nombril, et sur les côtés jusque sur les cuisses. Ensuite elle a rasé mes couilles en tirant la peau fort entre ses doigts, puis en-dessous et autour du cul, dans la raie des fesses. Elle ma essuyé avec le caleçon que javais enlevé et sur lequel elle essuyait le rasoir de temps en temps, et a recommencé avec un rasoir neuf : elle ma un peu coupé à deux ou trois endroits.
- Te voilà plus propre ! A partir daujourdhui, tu devras tentretenir régulièrement, compris ?
mets-toi à quatre-pattes, écarte bien tes genoux
Je lai vue se baisser et enlever ses chaussures ; elle a retiré un lacet dune chaussure et sest mise derrière moi.
- Tu sais quon peut couper les couilles dun homme ? ça lempêche pas de bander
Debout derrière moi, elle faisait bouger mes couilles avec ses orteils et donnait des petits coups dessus, de plus en plus fort, et elle a arrêté :
- Tu aimerais être mon eunuque, Jonathan ?
et elle ma donné un vrai coup de pied sur les couilles. Ça ma coupé la respiration. On au-rait dit quon marrachait quelque chose dans le ventre et je me suis recroquevillé par terre, couché sur le côté, en remontant les genoux
- Tu naurais plus jamais mal comme ça
Accroupie derrière moi elle ma soulevé une jambe et a tiré mes couilles en arrière pour quelles dépassent entre mes cuisses fermées, et elle les a serrées dans sa main
-
mais je te les laisserai, sans doute, elles sont douces et chaudes
remets-toi à genoux
allez, Jonathan
un peu de courage
écarte plus
et enlève ta main !
- Non, Nelly
sil te plaît
recommence pas
Elle ma caressé la joue et ma fait lever la tête ; elle souriait en passant le pouce sur mes lèvres :
- Fait le pour moi, Jonathan
pour moi
et jai écarté les jambes, à genoux devant elle
elle a dénoué le lacet et a caressé mes couilles doucement
- Tu sais, après cet après-midi, tu vas être privé pendant quelques jours
tu devrais en profiter
caresse-toi
allez, fais-toi du bien
Elle ma remis de la mousse à raser dans la raie des fesses ; elle a rentré un doigt dans mon cul et a commencé à le rentrer et le sortir :
- Ton cul devient plus souple, cest bien ! Bientôt je pourrais mettre la main entière, tu ai-meras
Branle-toi, Jonathan !
Javais encore mal après le coup de pied quelle mavait donné, et si elle mavait pas touché le cul, je crois pas que jaurais bandé. Et puis elle a rajouté un autre doigt, et un autre, et elle a mis les quatre doigts sauf le pouce, comme sa tante avait fait aussi ; heureusement pour moi, elle avait les mains plus fines.
- Nelly
tu déconnais
je veux pas que tu les coupes
je veux pas
- Tu préfères avoir mal, je sais
demande-moi
-
quoi ?
- Demande-moi, Jonathan
Je savais. Je savais ce quelle voulait. Et je savais quelle ne me dirait plus rien
pour un baiser
pour un autre baiser delle
Je me suis allongé sur le dos, jambes écartées, un bras sur mes yeux, et jai attendu
dabord une main, sur mon sexe, tout mou davoir joui et de la douleur, lautre main, sur mes couilles, qui les soupèse et les presse doucement, entre son pouce et sa main en-dessous, qui les écrase, doucement, lune après lautre, et qui descend plus bas, doigts sur lanus. Jai relevé les jambes, genoux vers la poitrine ; elle forçait ses doigts en moi, durs, tendus, les yeux rivés aux miens, ses yeux dhabitude tristes et maintenant lumineux ; elle poussait fort de son bras dont les muscles se raidissaient et mes yeux se mouillaient ; de son autre main elle avait pris mes couilles et les tiraient vers elle et mes yeux coulaient pendant que je serrais les dents très fort
pour sa voix si douce, aussi douce que ses mains étaient dures
mais non, elle a renoncé, et ma laissé haletant. Elle sest avancée vers moi, une main de chaque côté de ma tête, un genou entre mes jambes ; elle me regardait toujours dans les yeux :
- Demande-moi !
Elle était penchée sur moi et avait relevé son genou. Elle attendait.
-
sil te plaît
vas-y
fais-le
Elle me souriait, et cette lueur dans ses yeux
et le temps durait
et rien
et comme je me détendais, son genou ma frappé, me coupant le souffle
envie de vomir
et quand jai repris contact du dos avec le sol après la brusque contraction
une seconde fois son genou ma arraché un long gémissement quelle a étouffé de sa bouche.
Elle sest allongée sur moi, longtemps, sa main dans mes cheveux, jusquà ce que jarrête de trem-bler.
Kévin était en colère. En colère quelle veuille plus sortir avec lui, et aussi parce que jétais là et que jentendais tout ce quils disaient. Il la insultée, la traitée de salope ; il lui a dit quil en avait rien à faire delle, et quelle pouvait garder son pucelage toute sa vie si elle voulait
sil savait
Il nous a suivi jusquà la librairie. Annie et Martina étaient là, et il ne leur a même pas dit bonjour. Nelly a pris Christophe à part pour lui expliquer, et jai cru quil me regardait de travers, comme si jy étais pour quelque chose. On est partis chez sa tante à la fin du repas, en même temps que les autres. Martina et Annie ont fait une drôle de tête en voyant que Nelly mavait pris par la main.
Sa tante ma dit daller me déshabiller dans la chambre du fond, et elle est restée discuter dans le salon avec Nelly un moment avant de me rejoindre.
- Viens voir par ici Jonathan
Nelly tas dit que nous avions fait des courses pour toi ?
- Elle me la dit
- Bien ! regarde
Sur le grand plateau en acier, jai reconnu les instruments quelle avait utilisée la veille pour les piercings de Nelly : pinces, compresses, aiguilles ; il y avait aussi une pochette transparente contenant un petit anneau et une autre contenant un anneau beaucoup plus gros fermé sur un bille :
- Regarde, Jonathan, je navais pas imprimé cette photo hier
voilà le résultat un fois installé pour le plus petit, pour le second, tu verras plus tard. Nelly a choisi avec moi !
En me parlant, elle a vidé un petit sac sur la table, à côté du plateau :
-
et je tai aussi acheté quelques sous-vêtements qui te conviendront mieux que ceux que tu portes dhabitude !
Jai pris les sous-vêtements les uns après les autres
un string rouge et deux noirs, et quatre autres qui au lieu davoir un fil de tissu entre les fesses, en avaient deux, qui remontaient de chaque côté des fesses
- Tu ne porteras plus que ceux-là, maintenant ! tous les jours ! Et tu jetteras tes caleçons ! Et nous avons aussi acheté ce harnais pour toi, tu devras le porter régulièrement, tous les soirs une demi-heure avec un des ces élargisseurs.
Elle me montrait les trois plugs noirs posés sur la table ; le troisième était vraiment très gros. Dune boîte, elle a sorti un ensemble composé de lanières de cuir et danneaux. Elle ma attaché une ceinture en cuir autour de la taille avec deux anneaux de fer brillant, un devant sous le nombril et lautre dans le dos, au-dessus de la raie des fesses. Elle a ensuite sorti un anneau en métal avec deux liens de cuir attachés dessus. Elle a enfilé lanneau sur ma queue, et quand il a été en bas, elle a tiré la peau des couilles à travers lanneau, coinçant mes couilles en dessous, et en poussant depuis dessous avec ses doigts elle a fait passer mes boules à travers lanneau, une après lautre. Elle ma fait mal. Lanneau était petit et elle a poussé fort en les écrasant un peu pour les faire passer à travers.
- Tourne-toi et appuie tes mains sur tes genoux
allez penche-toi bien ! Nelly donne-moi le gel et le petit plug, celui de 35
!
Nelly a versé du gel sur la main de sa tante et en a fait coulé sur le plug aussi.
- Pose-le sur le tabouret, il va se le mettre tout seul
nest-ce pas Jonathan ?
Elle ma mis du gel dans la raie des fesses :
- Allez, montre-nous !
Le plug noir que Nelly a posé sur le tabouret est un cylindre, assez court, entièrement lisse, juste arrondi en haut, avec une fente à la base, dans laquelle Nelly a enfilé lune des deux lanières quand je me suis mis au-dessus.
- Allez ! assieds-toi dessus !
Jai fait ce que jai pu
jai essayé ; jai même écarté mes fesses à deux mains, mais je ne suis pas arrivé à le rentrer dans mon cul
- Aide-le Nelly !
Elle sest placée en face de moi :
- Mets tes bras autour de mon cou et penche toi vers moi, allez, dépêche-toi !
Elle a glissé les deux bras entre mes jambes, et de ses doigts elle massait mon cul autour du plug :
- Descends!
Pour elle. Je lai fait pour elle. Je me suis cramponné à son cou et je me suis assis dessus plus fort; ses doigts continuaient à masser et étirer ... et lenvahissement, comme un coup de poignard entre mes fesses
Dans mon dos, sa tante a attaché la lanière à lanneau sur la ceinture, le tendant fort, et Nelly a attaché la deuxième lanière à lanneau sous mon nombril
et elles ont resserré encore les lanières qui maintenaient le gode bien enfoncé quand je me suis redressé.
Et puis elle sest occupée de Nelly, installée comme hier sur la table du salon, les pieds sur les accoudoirs du fauteuil et la tête sur mes genoux. Elle a percé lautre lèvre, en face de la première, et cest le même anneau qui traversait les deux trous, reliant les deux lèvres ensembles. Nelly a serré les dents sur la tige de bois quand elle a percé, et je ne sais pas si à travers ses larmes, elle a bien vu le résultat quand sa tante a présenté le miroir entre ses jambes.
Sa tante ma envoyé dans la salle de bains pour que jenlève seul le harnais.
En revenant dans le salon, débarrassé du plug, javais limpression dêtre encore dilaté, ouvert. Nelly était allongée dans le canapé, un bras sur le visage ; lanneau passé dans les deux trous à mi hauteur de la fente fermait son sexe, les deux boules reposant au bas de la fente, presque au contact des cuisse. Elle était belle
Sa tante sest assise à côté delle et ma fait signe de mapprocher. Toujours avec ses gants elle a caressé Nelly de ses deux mains ; dun doigt glissé dans la fente au-dessus des piercings elle caressait le clito de Nelly, et en soulevant lanneau, elle a glissé deux doigts entre ses lèvres. Lécartement des lèvres a fait grimacer et geindre Nelly :
- Tout va bien Nelly
jarrête. Viens donc tenir la main de Jonathan pendant que je moccupe de lui !
Sa tante ma fait asseoir au bord de la petite table, face à elle, assise dans le fauteuil ; elle a enfilé des gants neufs. Avec un sparadrap, elle a fixé mon sexe sur mon ventre, et ma nettoyé avec une compresse. Quand elle a percé la peau sur un côté, en haut des couilles ; jai presque rien senti ; même quand elle a glissé le petit anneau je nai pas eu mal non plus. Jai eu plus mal pour le second, mais moins que jaurais cru. Elle a enlevé la boule clipsée et a enfilé lanneau autour de mon sexe, comme une bague, avant de percer le frein avec une grosse aiguille. Cest quand elle passé lanneau à travers le trou et la fait tourner pour clipser la boule à lopposé du frein que ça a été le plus douloureux. Lanneau était glissé sous le bourrelet du gland ; il ne me serrait pas trop
- Cest maintenant quon va voir si on a bien choisi le diamètre
et elle a commencé à me masturber doucement, tenant ma queue du bout des ongles dune main et me griffant les couilles de lautre
et lanneau a commencé à me serrer quand jai commencé à bander, encore plus quand, en serrant plus fort ma queue entre ses doigts en remontant, elle a fait gonfler mon gland. En tout cas le piercing ne saignait pas. Elle a eu lair satisfaite du résultat et elle a arrêté de me caresser :
- Tu vois Nelly, 25 cétait bien, on a bien choisi. Tu iras le nettoyer, nest-ce pas, tous les jours ! et pas de tripotage pendant quelques jours Jonathan ! Allez, ça suffit
elle ma pincé une couille entre deux doigts et la douleur ma fait débander
-
tu vérifieras quil porte bien le harnais régulièrement ! on se reverra samedi prochain ; pas de livraison lundi, Jonathan !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!